En 1939, alors que l’Europe allait connaître la seconde guerre mondiale, un groupe d’associations spécialisées dans les affaires et le commerce, créa le tout premier World Trade Center pour promouvoir la paix mondiale par le commerce international.
Cette idée d’un lieu neutre où les chefs d’entreprises pourraient se retrouver pour échanger des idées et des produits n’était alors qu’un pavillon temporaire de l’exposition universelle de New York. Puis elle vit le jour dans les années 1970, quand le premier World Trade Center fut bâti au sud de Manhattan.
Redynamiser le Lower Manhattan
Dans les années 1950, David Rockefeller, alors vice-président de la Banque Chase Manhattan, créa une association visant redynamiser le sud de l’île et plaça le futur World Trade Center au centre de son projet. Il percevait que la présence incontournable du WTC rassemblerait les leaders du monde économique et favoriserait le bien-être global des new yorkais de l’époque (tant d’un point de vue économique, que civique, social et culturel).
C’est ainsi que les tours jumelles et cinq autres gratte-ciels émergèrent du Lower Manhattan entre 1968 et le milieu des années 1980. Les premiers occupants investirent leurs bureaux dès 1970.
Plus de 50 000 personnes travaillaient chaque jour dans ces tours qui symbolisaient la puissance économique occidentale et marquaient de leur présence la skyline la plus connue au monde.
Puis ce fut le chaos.
Il y a aujourd’hui 20 ans que l’impensable est survenu.
Vingt années au cours desquelles les World Trade Centers ont continué à favoriser les échanges, les collaborations et les relations basées sur le respect et l’entraide.
Le réseau est plus fort que jamais
Chaque World Trade Center porte les valeurs originelles de ces créateurs. Et chaque World Trade Center travaille pour que demain soit radieux, tant d’un point de vue économique que social, pour nous et pour les générations futures. We grow trade ! Nous développons le commerce et les échanges. C’est notre participation au maintien de la paix, de la libre circulation des biens et des personnes et de la liberté d’entreprendre.
